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Comme sainte Jeanne d’Arc, la vie de Clovis suscite d’emblée l’enthousiasme. Il est vrai qu’une jeune fille devenue chef de guerre, et un roi barbare transformé en lieutenant du Christ par la grâce de Dieu, est non seulement unique au monde, mais révèle un mystère d’élection divine pour la France. En nos temps de grande désolation politique et spirituelle, il nous faut retrouver les trésors de notre histoire, qui sont au fondement de notre espérance surnaturelle. Il est impossible qu’un tel destin dirigé par la main de Dieu s’achève dans l’incrédulité universelle et la corruption générale. Saint Pie X nous a donné le remède à l’aube du XXe siècle, dans sa Lettre sur le Sillon, du 25 août 1910, par laquelle il condamnait la démocratie chrétienne.
« Non, vénérables Frères, il faut le rappeler énergiquement dans ces temps d’anarchie sociale et intellectuelle, où chacun se pose en docteur et législateur, on ne bâtira pas la cité autrement que Dieu ne l’a bâtie ; on n’édifiera pas la société, si l’Église n’en jette les bases et ne dirige les travaux ; non, la civilisation n’est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a été, elle est ; c’est la civilisation chrétienne, c’est la cité catholique. Il ne s’agit que de l’instaurer et la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l’utopie malsaine, de la révolte et de l’impiété : omnia instaurare in Christo. »
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Faute de l’avoir écouté, l’impiété a triomphé, et jamais siècle n’a été plus meurtrier. Quand les Français seront aux confins du désespoir disent les mystiques, après avoir tenté toutes les solutions humaines, ils se retourneront vers leur Dieu Sauveur… Alors le Sacré-Coeur interviendra visiblement, par la médiation du Coeur Immaculé, et l’un et l’autre seront enfin honorés comme ils le méritent, c’est-à-dire infiniment, d’un pôle du monde à l’autre. En attendant, il faut armer notre foi de celle de nos Pères, gonfler notre espérance des histoires magnifiques des saints et des héros de notre belle Patrie, et réchauffer notre charité aux sources vives de la vraie dévotion : Jésus ! Marie ! Jeanne ! Clotilde ! Remi ! …et Clovis ! Pour retremper nos âmes dans la foi de nos Pères, il faudra reprendre le chemin de nos églises et de nos cloîtres, dire le chapelet tous les jours comme la Sainte Vierge l’a demandé avec tant d’insistance, et lire la vie des saints pour s’en inspirer davantage ; il faudra aussi nous remettre au travail intellectuel à l’école des maîtres qui ont fait la Chrétienté : retrouver le goût des fortes études, l’émulation des universités vraiment catholiques, et la joie virile de ces fameuses joutes théologiques, dont les « dîners-débats » modernes en sont le lointain écho… Il faudra revenir à l’antique sagesse monastique : ora et labora, prie et travaille : et Dieu fera le reste !
Pour retrouver ces trésors du passé, nous gardons bonne souvenance que les petits enfants de France, autrefois, apprenaient leur glorieux passé durant les longues veillées d’hiver, groupés autour de l’âtre. Chacun racontait sa journée en trempant la bonne soupe ; et puis parfois, avant la prière du soir, on racontait la sainte histoire de France, dont jamais on se lassait. Dans les chaumières, les écoles, les châteaux et les abbayes, c’était toujours les mêmes récits qui passaient, la même flamme qui ravissait les esprits et les cœurs… Il fallait souvent que les petits enfants de France osassent réclamer aux anciens ou aux clercs ces vieilles histoires d’autrefois… Qu’on les aimait alors, et les histoires et ceux qui la racontaient, nos Pères ! Ainsi la France était aimée et le Bon Dieu était heureux. Hélas les impératifs rationalistes d’une certaine science moderne, savante et orgueilleuse, sont venus semer le doute dans ces récits merveilleux : il fallut désormais fournir des preuves à tout ce qui était raconté, et ne garder que ce qui était dûment attesté, authentifié, certifié… Après des siècles d’affirmation sereine, on passa tout au conditionnel : il ne resta guère que des lambeaux de tradition, que quelques-uns osent encore croire, mais à l’église seulement ! Quelques doctes savants, au nom de la science, ont impressionné les pauvres fidèles, qui n’osent plus croire ce que leurs Pères avaient cru si simplement, si fortement. Le pape Pie IX nous donne le remède infaillible que n’importe quel catholique peut employer victorieusement contre les assauts de la raison émancipée de la foi :
« Si les conclusions de votre science vont contre la foi, revoyez votre science. »
Car il est une autre science, admirable celle-là, qui fut la gloire des universités du Moyen-Âge. La théologie était alors considérée comme la reine des sciences, qui toutes, telles de bonnes servantes, donnèrent leur plein accomplissement dans la mesure de leur soumission à la foi. Une vraie bonne servante est loin d’être méprisable aux yeux de sa maîtresse ! Elle la chérit au contraire, non pas comme une esclave, mais presque comme son égale. La foi n’a jamais condamné la vraie science. C’est le scientisme ou le rationalisme qu’elle n’eut de cesse de combattre, voyant dans ces erreurs le
terreau de l’hérésie. L’Église eut toujours grand soin de garder l’esprit humain dans l’humilité, sûre que le péché originel ne détraqua pas seulement la volonté, mais aussi l’intelligence. À cette condition la science se trouve illuminée par la foi, et donne une assise rationnelle aux récits merveilleux de nos miracles. C’est ainsi que s’est bâtie la magnifique chrétienté dont les foules viennent admirer toujours les vestiges !
Reprenons ces bons principes de nos Pères, et nous aurons le bonheur de retrouver bien des trésors oubliés. À leur exemple, il nous faudra toujours croire d’abord, pour embraser le cœur et éclairer l’intelligence. Ensuite seulement, et nécessairement, il nous faudra défendre contre les détracteurs, par cette raison sanctifiée, tous les trésors de notre foi, les miracles, nos reliques et tant de joyaux catholiques et français. Nous y croyons parce que c’est vrai… et nous entendons les défendre, les armes de la science à la main ! De très nombreuses découvertes archéologiques récentes sont devenues les remparts de notre foi : depuis la découverte du saint Suaire à la fin du XIXe, le miracle du soleil à Fatima, les manuscrits de Qumran en 1947 et la découverte de la tombe de saint Pierre à Rome, que de raisons nouvelles de croire !
Ami lecteur, peut-être te sentiras-tu peu concerné par ce combat intellectuel étrange : prends bien garde toutefois ! Car si tu es catholique, quand bien même tu te laisserais prendre sur un seul iota de nos Traditions, préférant ta propre opinion à la pensée de l’Église, sache que tu t’apprêtes à faire naufrage dans la foi ; car tes pensées ne sont plus celles de notre sainte Mère l’Église mais les tiennes, c’est-à-dire celles de l’homme, derrière lequel se cache le serpent rationaliste. Le doute une fois installé, tel un cancer, corrompt tout ce qu’il rencontre. Cet esprit corrosif a pénétré bien des intelligences depuis trois siècles, et les bornes fixées par nos Pères comme dit l’Écriture, ont été peu à peu démolies. Tel est le poison du libre-examen appliqué à nos Traditions. Et chacun devient Pape, nos histoires saintes à la main, les passant au crible de nos petites raisons individuelles et suffisantes. Ces gens veulent comprendre pour croire. Ils n’entendent plus le vieux prophète Isaïe [et lequel ? car ils disent qu’il y a trois ou quatre Isaïe !]
leur dire ces mots tranchants comme une épée : « Si vous ne croyez pas, vous ne comprendrez pas » (Is VII, 9). Non, nos anciens n’étaient pas de stupides incrédules, et il faut le dire d’un mot qui nous constitue leurs héritiers : Non ! Nos Pères ne nous ont pas trompés ! Et quand l’Église a fait sien tel miracle, telle relique ou telle apparition, il n’y a même pas à discuter ; si ma Mère le croit, je le crois ! Application vigoureuse de cette parole divine de saint Jean : « Notre victoire sur le monde [universitaire], c’est notre foi ! » (1 Jn 5,4). Ce choc fut l’occasion d’une des plus belles louanges de Notre-Seigneur à Dieu son Père : « Je vous bénis, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que Vous avez caché ces choses aux sages et aux prudents, et les avez révélées aux humbles. » (Mat, XI, 25). C’est pourquoi c’est un enthousiasme formidable de retrouver cette foi de nos Pères, presque totalement disparue sous les sarcasmes de ces demi-savants. Cette foi intrépide puisée aux meilleures sources sera seule capable d’offrir le remède approprié à l’athéisme corrupteur, inondant de joie et d’enthousiasme ceux qui liront ces pages comme autant de perles évangéliques. Ah mon Dieu, qu’il est bon de vous retrouver mystérieusement dans toute cette histoire sainte et dans vos saints… quelle lutte hier, et quelle espérance pour demain !
On comprendra mieux le soin avec lequel nos saints moines du Moyen-Âge passaient leurs vies à recopier et enluminer sans se lasser d’innombrables manuscrits, les trésors des monastères et des châteaux ! Alcuin, précepteur de Charlemagne, louait l’œuvre de ses moines, et appelait d’autres ouvriers à l’immense moisson qu’il entreprenait :
« Ici venez prendre place, vous dont la fonction est de transcrire la loi divine et les monuments sacrés de la sagesse des Pères. Prenez garde de mêler à ces graves discours quelque propos frivole ; veillez à ce que votre main étourdie ne commette pas quelque erreur. Cherchez studieusement des textes purs, afin que votre plume, dans son vol rapide, aille par le droit chemin. C’est un grand honneur que de copier les livres saints, et ce travail trouve sa récompense. »
Les calomnies indéfiniment répétées contre ces obscurs moines du Moyen-Âge qui auraient fabriqué le mythe de notre histoire nationale s’en trouvent singulièrement réparées ; et les obscurs penseurs de la culture woke mériteraient bien mieux cette accusation. C’est un grand honneur d’avoir écrit ce livre sur un tel roi, et d’avoir découvert que la France était toute contenue en germe dans le cœur catholique et royal de Clovis, nous donnant à aimer le Sacré-Cœur de Jésus : si le lieutenant est aimable, combien davantage son Seigneur qui l’inspire et le guide ! Cette perle évangélique trouvée dans le grand champ de notre histoire nationale ne peut être gardée pour soi seul : dans sa joie, il vend tout ce qu’il possède pour acheter son trésor, et en fait profiter ses amis… Telle est la raison profonde de ce livre, pour rendre aux Français l’histoire formidable dont on les a privés depuis deux siècles !
Tous les Pères qui ont médité sur la Religion Royale n’ont pas manqué de voir dans la vie de Clovis bien davantage qu’une simple biographie du roi fondateur de notre Monarchie : ils ont su y discerner un mystère de prédestination, au sein duquel on ne peut pleinement entrer que par la foi, comme dans la vie des saints. C’est la Gesta Dei per Francos, les merveilles de Dieu accomplies par les Francs ! C’est en découvrant leurs écrits qu’a pris forme ce titre : l’Évangile de Clovis selon la foi de nos Pères. Si le mot
ne s’y trouve pas, du moins la réalité affleure dans toute notre tradition nationale.
D’autre part le terme « Évangile » n’est pas proprement catholique mais un usage de l’Empire romain, par lequel était publiée une bonne nouvelle, par exemple une grande victoire ou la naissance d’un héritier ; un édit était alors envoyé aux quatre coins du monde civilisé. La conversion de Clovis entre à plein dans cette définition impériale. Nos Pères ont gardé le souvenir précieux du basculement extraordinaire d’un monde hostile au Christ à la naissance de la Chrétienté, par l’acte de foi de cet homme prédestiné, Clovis roi des Francs, fait par la grâce de Dieu Lieutenant du Christ.
Les sources de cette histoire de Clovis seront expliquées en détail dans la IIIe partie du livre, parce qu’il faudra raconter comment le poison du rationalisme a infesté notre histoire de France depuis le XVIIe siècle. Cette vie de Clovis n’est pas autre chose que celle qui fut apprise par Charlemagne, saint Louis, sainte Jeanne d’Arc, et jusqu’à Louis XIII, suscitant toujours la même admiration, sans l’ombre d’une contestation. À partir du règne de Louis XIV tout se complique jusqu’à aujourd’hui. Il restera à chacun de choisir son camp, hier comme aujourd’hui, car cette histoire n’est pas encore achevée. De nombreuses prophéties annoncent la venue d’un Grand Monarque et d’un saint Pape que Dieu enverra pour rétablir toutes choses dans son Église et son Royaume, en si grande pitié : pour hâter ce jour, nous devons prier avec confiance et travailler sans relâche ! Dans les ténèbres qui s’épaississent, si j’ai gagné quelques Français pour que revive le saint Royaume de France, je n’aurais pas perdu ma peine… et notre espérance sera d’autant relevée que d’autres nous rejoindront, se battront, et mourront s’il le faut… et que Dieu enfin, déclenche les Armées du Ciel qui voleront à notre secours, emportant la Victoire si chèrement acquise ! Il y a un temps pour se battre, et un temps comme aujourd’hui pour préparer notre âme au combat. Laissons ce triste monde qui se meurt d’avoir chassé son Dieu. Dans le silence de la prière et le souvenir de nos Pères, il nous faut retrouver cette atmosphère d’autrefois où Dieu était à la place d’honneur et la Vierge était chantée de mille manières ; et les petits enfants de France se tenaient bien sages, quand on racontait la grande histoire du saint Royaume de France… c’était le chant d’une épopée qui allumait dans les cœurs la flamme sacrée, l’amour de la Patrie, la terre des Pères, qu’un jour peut-être il faudrait défendre et donner sa vie pour elle ! Chacun se trouvait au fil de l’histoire, à chevaucher un fier destrier pour ne pas manquer la charge des chevaliers français, enfilait une bure pour joindre sa voix à la grande prière des moines dans une antique abbatiale, et se retrouvait le long d’un sillon, à conduire patiemment la charrue derrière sa paire de bœufs, surveillant le soc ! On achevait alors l’histoire par
la prière du soir, et les anges poursuivaient la chanson de geste dans tous les cœurs.
La petite flamme de l’espérance grandissait chaque fois, avec le désir sacré de participer à la grande cause du Christ, selon la volonté de Dieu : pour que revive à nouveau la France, l’Église, Dieu et le Roi ; et les moines, les paysans et les chevaliers, dont notre époque a tant besoin. Telle était, telle est, et telle sera toujours la vraie histoire de France, qui passait si bien dans le cœur des petits enfants de France ! Plût à Dieu que chacun d’entre nous ait à cœur de renouer avec cette Bonne Nouvelle : ce que Clovis fit hier, par la grâce des saints qui l’entouraient, recommencera demain, quand l’élu de Dieu paraîtra, pour tout restaurer dans le Cœur de Jésus et Marie !
Je voulais vous remercier, pour vos vidéos et vos ouvrages. Vous avez permis une très ferme réconciliation entre notre Histoire Française, notre Culture et moi même qui en été totalement désintéressé. Plus qu'une réconciliation d'ailleurs, l'Histoire (recadrée délestée de toute idéologie Républicaine) est devenue une passion. Soit...ce n'est pas le plus important. Vous avez surtout contribué à ma profonde conversion vers la véritable Foi chrétienne et Catholiques. Soyez bénie. Cordialement.
Votre fichier audio de Saint Louis est vraiment très intéressant et passionnant. Les faits sont bien relatés et c'est très plaisant à écouter
Grâce à vos publications je me suis forgé une culture et une maitrise de l'histoire que je n'aurais pas acquis avec l'éducation nationale.
Merci !
Mille mercis pour tout ce que vous faites, et lorsque le Lys reviendra en France, c’est-à-dire bientôt, vous pourrez être fier d’y avoir contribué
Et bien juste pour vous dire que vous faites un travail formidable, saint, j'ai même envie de dire. Je n'ai pour l'instant que deux livres de votre collection mais je compte bien en ajouter d'autres prochainement. Merci car je peux, grâce à vous, approfondir sérieusement mes connaissances avec des livres toutefois très accessibles.
Merci pour votre travail ! Il est précieux !
Merci pour tout, j'adore vos livres.
Merci pour ce travail magnifique qu'est de réhabiliter l'histoire de France
Je veux vous remercier particulièrement pour votre beau et admirable travail d'excellentes publications dont notre foyer bénéficie.
J'aimerais vous remercier, car grâce à vous, je redécouvre (et étudie) avec joie la beauté de l'Histoire de la France, la grandeur de la Fille Aînée de l'Église (qui je l'espère, retrouvera ses lettres de noblesse et sa Foi).
J'ai acheté plusieurs livres de Vox Gallia à la librairie Les Deux Cités à Nancy, et je n'ai pas regretté mes achats.
Continuez à faire de si beaux livres !
Je vous remercie pour votre travail et les ouvrages passionnants proposés
Merci pour votre travail de réédition, je viens de finir le péril cathare que j'ai beaucoup apprécié. Ces lectures me font découvrir à quel point nous avons une belle et grande histoire. Merci à vous.
Merci beaucoup pour votre travail. C'est toujours un plaisir de commander un livre de votre édition !
Des livres de qualité je recommande fortement pour les passionnés d'histoire de France
impeccable pour nos jeunes à qui l'éducation nationale supprime des pans entiers de notre histoire.
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