NON ! Au MOYEN ÂGE on ne BRÛLAIT pas de SORCIÈRES !

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Les sorcières principalement persécutées en pays protestant aux XVIe et XVIIe siècles.

Surtout à la fin du Moyen Âge, les termes “sorcières” et “sorcellerie” étaient utilisés pour désigner des personnes qui étaient accusées de pratiquer la magie noire ou d’entretenir des pactes avec le diable. Les croyances et les perceptions entourant les sorcières variaient d’une région à l’autre, mais voici quelques caractéristiques générales associées aux sorcières au Moyen Âge :

La sorcière au Moyen Âge
La sorcière au Moyen Âge

Pratique de la sorcellerie : Les sorcières étaient souvent accusées de lancer des sorts, de jeter des malédictions, de préparer des potions et de pratiquer d’autres formes de magie. Ces pratiques étaient généralement considérées comme maléfiques et contraires à la religion chrétienne.

Relation avec le diable : Certaines sorcières avaient conclu un pacte avec le diable, par lequel elles renonçaient à leur foi chrétienne pour obtenir des pouvoirs surnaturels. Cela les plaçait en opposition directe avec l’Église catholique.

Il est important de noter que la chasse aux sorcières a entraîné la persécution et l’exécution de nombreuses personnes, en particulier des femmes, et essentiellement à la fin du Moyen Âge avec son apogée au cours des XVIe et XVIIe siècles. Les royaumes protestants étaient principalement concernés par la persécution des personnes accusées de sorcellerie. De nos jours, dans une société redevenue païenne, la sorcellerie est considérée comme une croyance ou une pratique ésotérique à la mode et ne fait plus l’objet de persécution légale. La société anti-catholique y voit même un bon moyen de supplanter la foi de nos ancêtres.

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